Articles
Pourquoi la location rassure… mais vous appauvrit

Vous soignez vos patients avec rigueur. Et si vous soigniez aussi votre patrimoine professionnel ?
Pendant des années, « louer » a semblé l’option la plus simple pour exercer : peu d’engagement, pas de travaux, une mensualité prévisible. C’est rassurant, oui. Mais, sur 5, 10 ou 15 ans, ce réflexe finit par vous coûter très cher : vous financez un actif… qui ne sera jamais le vôtre.
1) Les douleurs (que tout le monde ressent, mais que personne n’ose chiffrer)
Loyers croissants. Indexations, nouvelles charges, aléas du marché : votre loyer monte plus vite que vos honoraires ne suivent.
Zéro valeur résiduelle. À la fin du bail, vous repartez… sans rien. Les montants versés n’ont créé aucun capital.
Instabilité et dépendance. Changement de propriétaire, non-renouvellement, contraintes horaires : votre outil de travail ne vous appartient pas.
Petit schéma d’ordre de grandeur (exemple simple) :
Loyer : 1 800 €/mois × 60 mois = 108 000 € versés en 5 ans → 0 € d’actif.
Sur 10 ans : 216 000 € → toujours 0 €.
Même sans spéculation, l’achat transforme une partie de cette mensualité en capital (remboursement du prêt) et vous laisse une valeur de revente.
2) La solution : la propriété modulaire EasyClinic
EasyClinic propose un modèle simple : acheter votre cabinet (ou un module de surface adapté), clé-en-main, dans un centre médical moderne, accessible et géré. Vous gardez la liberté d’organiser votre pratique tout en capitalisant.
En pratique, cela veut dire :
Modularité : vous démarrez avec la surface dont vous avez besoin, et vous pouvez évoluer.
All-in (optionnel) : ameublement, gestion locative, services partagés (salle d’attente, cuisine, salle de réunion), accessibilité PMR, parking.
Optimisation possible : dans certains cas, achat en privé avec mise en location à votre SRL (à valider avec votre comptable).
Sous-location autorisée (cadre juridique adapté) : vous mutualisez l’usage et réduisez votre coût net.
Patrimonial : vous amortissez, vous capitalisez, vous conservez un actif revendable.
Autrement dit, EasyClinic ne vous “vend pas des murs”, mais un outil de travail qui sécurise votre pratique et enrichit votre avenir.
3) Cas type : jeune praticien·ne, horizon 10–15 ans, revente
Profil : praticien·ne en début de carrière, patientèle en croissance, besoin d’un cabinet moderne sans les tracas d’une installation isolée.
Scénario (ordre de grandeur, hors fiscalité et sans pari sur la hausse des prix) :
Aujourd’hui, vous payez un loyer de ~1 800 € / mois.
Sur 5 ans : 108 000 € sortent. Sur 10 ans : 216 000 €.
En achat, votre mensualité se rapproche souvent du niveau d’un loyer comparable. Mais : chaque mensualité rembourse du capital.
Au bout de 10–15 ans : vous détenez un actif. Même si la valeur n’a pas bougé, vous avez amorti une partie significative du prêt.
Option : si vous ne mobilisez pas 100 % des créneaux (ex. demi-journées), la sous-location peut abaisser votre coût net.
Sortie : à la revente, vous récupérez la valeur résiduelle du bien, au lieu de sortir “à sec” d’un bail.
Le vrai basculement mental : passer de “je paie pour utiliser” à “je paie pour posséder”. Vous continuez de travailler, et votre lieu de travail travaille pour vous.
4) Check-list — « Êtes-vous prêt·e à acheter votre cabinet ? »
Cochez honnêtement, crayon en main :
Horizon de temps : je me projette au moins 7–10 ans (stabilité géographique et de spécialité).
Flux de patients : ma patientèle est suffisante ou en croissance, et je sais estimer mon taux d’occupation.
Trésorerie de départ : j’ai la mise (frais d’acte, TVA éventuelle, ameublement) ou un plan clair pour l’obtenir.
Capacité d’endettement : j’ai discuté avec ma banque (ou un courtier) de ma capacité et de la structure du prêt.
Organisation : je sais quels créneaux je veux occuper et si je souhaite sous-louer certains temps.
Fiscalité : j’ai consulté mon comptable sur le montage (privé vs société) et l’impact fiscal (amortissements, loyers, etc.).
Qualité du lieu : j’ai visité, vérifié les prestations, la gestion, l’accessibilité (PMR, parking), la visibilité, et le confort patient.
Plan B : si je change d’organisation, je peux revendre ou louer mon cabinet (marché local, attrait du centre).
Vision : je veux un environnement professionnel, valorisant, qui soutient ma pratique et mon image.
Déclic personnel : je préfère construire un actif plutôt que payer « à fonds perdus ».
Si vous cochez 7 à 10 critères : vous êtes prêt·e à avancer.
4 à 6 critères : prenez un rendez-vous, faisons les chiffres ensemble.
Moins de 4 : continuez de vous informer, visitez le centre et clarifiez votre horizon.
CONCLUSIONS:
Louer vous rassure aujourd’hui ; posséder vous libère demain. Avec EasyClinic, vous ne partez pas seul·e dans une aventure immobilière : vous intégrez un écosystème pensé pour les soignants, qui conjugue qualité, gestion et patrimoine. Votre cabinet devient un actif : il abrite votre pratique et construit votre avenir.
Et si vous voulez aller plus loin : visite privée du centre et simulation personnalisée (sans engagement).